Nous sommes de grands défenseurs du pro bono parce que nous avons l’intime conviction qu’il faut donner pour espérer recevoir, même si cela constitue un investissement non négligeable en temps et en ressources humaines et financières.
En collaboration avec l’association ANIR qui aide les enfants en situation difficile, Synergie Media a lancé ce samedi un premier atelier sur l’autonomisation des jeunes issus des classes sociales les plus vulnérables, les bénéficiaires des différents centres d’accueil de la ville et d’anciens bénéficiaires aujourd’hui en insertion professionnelle.
Personnellement, j’ai été étonné par l’engagement et la motivation de ces représentants d’une partie de la société qui est généralement marginalisée et cantonnée aux formations artisanales. Leur parler en jargon simplifié de social marketing, de growthhaking et de lean startup leur a ouvert les yeux sur leur propre potentiel, qu’ils soient apprentis modélistes, designers ou pâtissiers.
Ma satisfaction très personnelle réside dans ma capacité à partager ma passion avec cette jeunesse que beaucoup estimaient peu destinée à réaliser de grandes choses.
Nous leur prouverons le contraire !
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